Emmanuel : » [….] Comme il est impossible de le démonter sans sortir le moteur, nous avons démonté les durites afin d’envoyer, à l’aide de nos pompes de cale, à contre courant de l’eau de mer dans le nid d’abeille.
Et là, nous avons d’abord découvert un amoncellement de morceaux de rotor qui faisaient bouchon à l’entrée de l’échangeur. A l’aide d’une pince à épiler, nous avons retiré 54 morceaux assez gros. Puis nous avons complété en injectant à contre courant dans l’inverseur, par la pompe de cale, un seau de 20 litres d’eau de mer, qui nous a permis de récupérer encore une bonne poignée de petits morceaux que nous avons sans doute décrochés du nid d’abeille. [….] »
Un grand Merci à tous ceux qui nous ont aidés de leurs connaissances et leurs conseils dans cette histoire!
illustration: cocorico version australe, photographié aux îles malouines par Daniel Opéra
Super nouvelle que cette réparation réalisée dans ce mouillage improbable du bout du monde.
Maintenant vous allez tous pouvoir profiter pleinement des paysages extraordinaires qui vous entourent.
Bon vent (mais pas trop).
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Bravo a vous tous et par les temps qui courent un bel exemple de solidarité ca fait chaud au coeur tres bonne continuation et profitez bien de votre magnifique périple on vous embrasse marie
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Certain mangeur de miel un peu distrait et rapide dans la lecture du blog s’est demandé d’où diantre pouvaient bien sortir tout à coup ces abeilles australes dans ces latitudes solitaires, mille sabords, mais ouf, tout danger est écarté dans vos rotors… et tout doute dans les nôtres !!!! Bravo !
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J’étais sûre que cette histoire te plairait. Toi qui est fan de termes maritimes, tu ne peux qu’être sensible à la poésie du vocabulaire des dieselistes. Et aux talents photographiques de ton cher et tendre!
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