Matinnée insouciante à Houat, au mouillage sauvage de Portz Ler, juste après avoir franchi le passage du Beniguet. Enfin une possibilité de baignade, l’ensoleillement s’y prête. C’est après que ça se complique.


Sécheresse oblige, les éclusages sont réduits au strict minimum, pour éviter toute remontée d’eau de mer dans la Vilaine ou est prélevée l’eau utilisée pour le réseau urbain. Les bateaux s’agglutinent dans l’espoir de passer le sas. Les pontons d’attente sont surchargés de bateaux à couple voire en triple, des deux côtés et sur toute la longueur des 2 pontons d’attente, la ou en temps normal 3 pelés et un tondu se partagent l’espace. La tension s’accumule parmi les équipages, et probablement parmi les eclusiers.

Le suspense reste entier … il est clair que tout le monde ne passera pas, et à moins de sortir des sabres d’abordage, équipement inconnu à bord, il va peut-être falloir repartir vers le Croesty, ou errer dans les limbes pendant un temps indéfini .
bonjour tous les deux…alors à suivre !!!
patience a tous les deux
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