Hier soir, pendant le dîner une longue discussion avec pour thème l’alcoolisme est au centre des échanges. Pour clore le sujet, à la nouvelle prise de quart, on ouvre notre bouteille toute neuve de rhum cubain. Ce matin, même pas mal au crâne…mais la visibilité est réduite à 300 m au lever du jour.
A part ça, l’avitaillement est à marée basse, et le vent se fait attendre qui devrait mener la Laureline à Mar del Plata dans deux jours.
23 novembre,
Je lis « le barreur, l’équipier au piano et les deux hommes sur le gaillard d’avant »….. à l’heure de l’écriture inclusive, où est donc Anaïs dans ce quatuor de joyeux artistes des mers ?
24 novembre,
On peut légitimement s’interroger sur l’éventualité d’un lien de cause à effet entre le rhum cubain et la visibilité réduite, non ? Tchin tchin !
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Anaïs est bien souvent l’auteur des petits mots qui nous sont adressés, et ne semble pas plus que moi tentée par l’écriture inclusive… mais crois tu vraiment qu’on puisse dire « une barreuse »?
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Dis moi Daniel je ne savais pas que tu avais des talents d’écrivain. Il faudra peut-être, qu’un jour, j’envisage une longue croisière pour continuer et finir le mien ! Merci pour vos riches commentaires et photos magnifiques. Je suis presque « in live » avec vous. Bon vent…
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